Gestion différenciée des espaces publics et maintien des espèces indigènes et sauvages.

Une telle gestion a pour objectif de maintenir certaines
fonctions sociales indispensables tout en privilégiant
les espèces indigènes favorables aux invertébrés
(araignées, insectes,…) et aux oiseaux. Le
choix des espèces à préserver peut devenir un enjeu
essentiel pour le retour des papillons ou des
abeilles dans la ville par exemple. Les herbes folles
appelées « mauvaises » par des générations d’agriculteurs
constituent souvent un réservoir alimentaire
indispensable pour la faune. Le maintien et la
gestion par fauchage limité, à l’instar de ce qui se
fait sur certaines bermes d’autoroutes, pourrait
s’envisager à condition d’informer le public de son
utilité.

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