Ça y est après un an et demi de réunions entre les 10 membres du groupe pilote, de promenades dans le quartier à la rencontre de ses habitants et de leurs envies, et grâce à l’appui de notre coach, Lucia, notre dossier a été validé par le Conseil Participatif des Quartiers Durables ! Nous avons deux années pour utiliser le budget mis à notre disposition par Bruxelles Environnement. Qu’allons-nous faire concrètement ?
Avant tout, un petit tour du quartier
Nous avons présenté notre projet à Bruxelles Environnement en soulignant que notre quartier, situé au S-O d’Uccle à proximité de Drogenbos et de la rue de Stalle, est principalement résidentiel. Toutefois, plusieurs écoles y sont présentes ou se trouvent en bordure, le centre culturel flamand Het Huys vient de s’y installer et Bio Planet y a son académie. Bref, pas mal de potentiel mais également une énorme pression automobile qui se traduit en un important trafic de transit et en l’occupation de nombreuses places de parking.
Les trois axes suivants seront poursuivis simultanément :
1) La verdurisation du quartier visera à valoriser certains pieds d’arbres dans le quartier ainsi qu’à installer plusieurs bacs pouvant contenir des plantes comestibles mais également mellifères. Le but sera double : améliorer l’esthétique du quartier mais aussi sensibiliser les passants et les habitants aux enjeux alimentaires (production locale) et de préservation de la biodiversité par la plantation de plantes propres à attirer les petits butineurs locaux.
Un autre projet, probablement le plus emblématique pour cette thématique, sera la création d’un potager collectif. Ici aussi un double objectif : d’une part nous voulons produire localement et d’autre
part, et peut-être surtout, créer du lien entre les habitants autour de ce potager. Celui-ci sera également un lien de formation spontanée car le « leader » de ce potager est une membre du groupe pilote qui vient de terminer sa formation en maraîchage. Autant dire qu’on va bientôt planter les choux à la mode de chez nous, à la mode Myosotis Durable dans le quartier Egide Van Ophem ! La localisation du terrain n’est pas encore définitive à 100 % mais des négociations sont en cours avec le CPAS pour mettre à disposition de Myosotis Durable un bout du terrain de la Maison de Repos du CPAS.
2) La gestion de l’eau est un enjeu essentiel à Uccle et tout particulièrement dans notre quartier qui se situe au confluent de plusieurs ruisseaux et rivières pour la plupart canalisés et donc invisibles pour les habitants….
Et pourtant, ils se rappellent à nous quand les égouts débordent suite à un gros orage. Les changements climatiques en cours vont nous amener des épisodes de plus en plus violents en termes de précipitations.
Le groupe pilote compte deux biologistes spécialisées en gestion de l’eau qui ont proposé de prendre le taureau par les cornes. Une partie de ce projet consistera à inviter les habitants du quartier à rénover ou installer des citernes d’eau de pluie. Une conférence permettra également de présenter le projet “îlots d’eaux”.
De plus, pour éviter les inondations, nous désirons détourner les eaux de ruissellement de la rue des Myosotis au moyen d’un avaloir sur toute sa largeur au niveau de son croisement avec la rue de l’Etoile.
Une bosse sera également nécessaire pour ralentir les eaux de ruissellement et leur permettre de pénétrer dans l’avaloir. De là nous voudrions arriver à les déverser dans le Geleytsbeek via une conduite souterraine, sous la rue Keyenbempt, vers l’étang de la rue du Melkriek situé en contrebas puis vers le Geleytsbeek, souterrain à partir de là.
Une étude précise des niveaux sera nécessaire et il faudra ensuite convaincre la Commune et Bruxelles Environnement de réaliser le projet. Un projet concret et ambitieux !
3) La préservation de la biodiversité est certainement le thème le plus fédérateur. C’est suite à une balade organisée en juin 2017 dans le parc de Keyenbempt que les membres du groupe pilote se sont rencontrés et ont pu ensuite construire un dossier en vue de lancer un « quartier durable ».
Notre action sera organisée en quatre temps et visera l’accueil des pollinisateurs sauvages : balade d’évaluation du potentiel du quartier, conférences—animation d’information, construction de nichoirs/hôtels à insectes et installation et balades d’observation de la biodiversité locale.
Convivialité
Ces différentes activités seront annoncées via le site web du quartier et des dépliants dans les boîtes aux lettres. Nous souhaitons qu’un maximum de voisins participent, chacun à sa façon selon ses centres d’intérêt et sa disponibilité.
Vous souhaitez nous suivre ? En savoir plus sur Myosotis Durable ? Une seule adresse : https://myosotisdurable.wordpress.com/
UN P’TIT BOUT DE TERRAIN POUR CRÉER DES LIENS ENTRE VOISINS ET AVEC LA NATURE
C’est un petit bout de terrain dans le haut de l’avenue de la Chênaie, coincé entre les voies de chemin de fer et leur talus. Vous l’avez peut être remarqué lors d’une de vos balades vers le Kauwberg ou pour rejoindre la promenade verte.
C’est en fait un bout de terrain tout petit mais qui depuis quelques années déjà nous apporte beaucoup de bonheur et d’énergie. L’aventure a commencé voilà un peu plus de deux ans, lorsque qu‘un groupe de voisins, précédemment rassemblés autour de l’organisation de la fête du même nom en a eu marre de voir ce coin de la rue régulièrement envahi par des déchets en tous genres. La coupe fut pleine quand une machine à laver a un jour atterri là, sans doute déposée par des extraterrestres qui avaient besoin d’alléger leur soucoupe volante et n’avaient pas entendu parler de la déchetterie régionale.
Nous avons donc relevé nos manches et par un beau matin de février avons dégagé et nettoyé ce terrain à l’abandon pour lui rendre une beauté. Nous avons retiré plusieurs mètres cubes de déchets qui s’étaient accumulés là au fil des années et aplani l’épaisse couche d’humus qui s’était formé suite à l’accumulation de déchets verts.
L’idée au départ était surtout d’occuper ce terrain de manière positive (et plus ou moins informelle) afin d’éviter les dépôts sauvages. Notre nettoyage ne passa toutefois pas inaperçu dans le quartier et il nous est vite apparu nécessaire de formaliser notre occupation. Après enquête il s’est avéré que le terrain appartenait à Infrabel qui répondit de manière rapide et positive à notre demande de location à condition de sécuriser le terrain via une barrière métallique. Barrière que nous avons heureusement pu récupérer au fond du jardin d’un voisin. Ce fut le premier gros œuvre qui permit de mobiliser toute une série de bonnes âmes de la rue et qui renforça la dynamique collective. Nous sommes depuis lors officiellement locataires de la parcelle pour un modique loyer de EUR 50 par an.
Encouragés par ce succès administratif, nous avons répondu à un appel à initiatives citoyennes en lien avec l’environnement ouvert par Bruxelles Environnement et qui fut couronné de succès et d’un financement. Ce financement nous a donné la possibilité d’accélérer la mise en œuvre du projet, de le formaliser et de lui faire prendre de l’ampleur. Ampleur non seulement en termes d’activités grâce aux investissements qu’il a permis de réaliser (cabane, récolte d’eau de pluie,…) mais aussi en termes d’organisations. En effet les subsides étaient assortis de conditions (notamment celle de constituer un groupe pilote) mais aussi d’un accompagnement spécialisé par l’asbl Le Début des Haricots.
En termes d‘organisation pratique l’initiative est depuis lors coordonnée par un groupe pilote de 5 personnes qui se réunit environ 1 fois par mois. Au total une douzaine de famille sont impliquées d’une manière ou d’une autre (coup de main pour l’arrosage en période de vacances, participation aux journées de travail collectif, prêt de matériel ou coup de main spécialisé pour certains travaux de bricolages,…) dans le projet.
Cette année fut la première saison de mise en culture, l’année dernière ayant été consacrée à la formalisation de l’occupation. Cette première saison de culture s’achève sur un bilan très positif : 7 parcelles individuelles cultivées, 3 bacs hors sol en culture, une cabane montée, une mare récupérée chez un voisin et posée, un système de récolte de pluie opérationnel et un système d’arrosage économe en eau (oyas) en place. Nous avons aussi organisé plusieurs journées de travail collectif, mis sur pied un système d’entraide pour l’arrosage sur l’été (qui a été particulièrement sec) et organisé un apéro/goûter visant à présenter notre initiative à un maximum de voisins.
Au fil du temps, de ces différentes étapes et de discussions entre voisins l’idée de départ d’occupation positive d’un terrain laissé à l’abandon a mûri et a de fait évolué en une aventure humaine portée par 2 objectifs principaux :
En effet, notre avenue a la chance d’accueillir aussi bien des couples avec des enfants en bas âge que des personnes retraitées. Différents groupes qui, de par leurs préoccupations et leurs activités différentes, n’ont pas toujours l’occasion de se retrouver et donc ne font souvent que se croiser bien qu’habitant dans la même rue.
En termes d’environnement, l’évolution des modes de vie et de consommation actuels amène à une déconnection entre les produits alimentaires que l’on achète et la nature de laquelle ces produits sont tirés. Il nous paraît dès lors nécessaire de recréer ce lien entre l’Homme et la nature dont il dépend afin d’améliorer la prise de conscience de la nécessité de sa protection.
Ce sont sans doute des grandes paroles pour un tout petit bout de terrain qui a lui seul ne changera pas le monde. Mais ce petit bout de terrain c’est le début d‘une aventure humaine à notre niveau, aventure qui ne demande qu’à évoluer au fil des personnes qui s’y impliquent et des idées qu’elles peuvent avoir. Le défi est maintenant de faire évoluer ce projet, de l’ouvrir au-delà du cercle de base afin qu’il continue dans sa vocation de tisser et de recréer des liens. Des liens entre des personnes et des liens avec cette nature dont nous dépendons tous au final.
Si vous habitez dans le quartier et que ce projet vous parle, envoyez-nous un petit email (dchenaie@ gmail.com) afin de rejoindre l’aventure. Ou tout simplement, la prochaine fois que vous vous baladez dans le coin n’hésitez pas à venir jeter un coup d’œil, nous vous accueillerons avec plaisir et, qui sait, vous repartirez peut être avec une courgette sous le bras ! A bientôt !
Pour le potager DéChenaîe, Gilles van de Walle
Une nouvelle initiative citoyenne est en train de
naître dans notre Commune grâce à la volonté de
3 Ucclois désirant participer au projet de « Uccle
en transition »
Qu’est-ce que la transition ?
Transition est un mouvement qui naît en 2005 et
ne cesse de prendre une ampleur internationale. Il
est composé de citoyens qui ont décidé d’agir au
niveau local pour répondre aux défis majeurs de
notre époque :
Nos ressources naturelles s’épuisent, le changement
climatique est en marche (très rapide) et les
crises se suivent et se ressemblent. Nous n’avons
plus d’échappatoire, les chocs arrivent et nous
devons nous préparer à les encaisser. Pour cela,
il faut rapidement construire la résilience de nos
quartiers, de nos villes et de nos communautés.
Et le faire collectivement est un des meilleurs
moyens de passer à l’action.
Suite au film « Demain » de nombreuses initiatives
citoyennes ont vu le jour un peu partout dans le
monde. En Belgique, 60 initiatives se développent
actuellement : Forest, Boitsfort, Etterbeek, Ixelles,
1000 Bruxelles, Jette, Auderghem et Linkebeek s’y
sont mis.
« Uccle en transition » c’est donc imaginer ensemble
une autre ville, préparée aux grands bouleversements
qui nous attendent.
Aspect important à garder à l’esprit : notre objectif
principal n’est pas de nous battre contre des
choses, mais plutôt de développer des projets
positifs, engageants et attractifs, dans une vision
optimiste.
Ce mouvement citoyen prend autant d’ampleur
pour plusieurs raisons : rencontrer nos voisins,
créer du lien, se reconnecter aux autres, participer
aux changements dans le monde, aujourd’hui
et pour les générations futures. Surmonter cette
impression d’être déconnecté de soi, des autres
et de notre environnement. Egalement pour catalyser
toutes sortes de nouveaux projets, idées
à mettre en place au niveau local et parce que
nous ne nous sentons plus représentés par le
monde politique et que nous voulons retrouver le
sentiment de pouvoir agir sur le monde qui nous
entoure.
Et concrètement ?
Nous avons de la chance, il existe déjà à Uccle
plusieurs initiatives qui vont dans le sens de
la transition : le « repair café » de La Roseraie,
les « quartiers durables » de Saint Job et de
Messidor, le quartier Oxy-durable du Wolvendael.
La « grainothèque » de la bibliothèque néerlandophone
et celle du Hompot, « l’Epi », épicerie collaborative
et participative de la rue du Doyenné, les
« Incroyables Comestibles » qui font un potager
collectif à l’école du centre et place Saint Job. La
Ruche qui dit Oui », nos comités de quartier et les
projets de potagers collectifs, compost collectifs,
bourse aux graines, GASAP.
L’idée est de mettre toutes ces initiatives en
réseau en organisant début juin une projection
de film sur le thème de la ville en transition et
de discuter autour de tables rondes des divers
thèmes qui nous animent : l’alimentation, l’éducation,
l’économie, les transports, l’énergie,... afin
de faire émerger de nouveaux projets citoyens.
Nous avons besoin de personnes qui écoutent, de
jardiniers, de gens qui aiment fabriquer et réparer,
de belles fêtes, de discussions, d’ingénieurs
en énergie, d’art et de musique inspirante, de
constructeurs, de planificateurs, de gestionnaires
de projet.
Venez avec votre passion comme contribution – et
s’il n’y a pas de projet dans le domaine qui vous
passionne, créez-en un : vous trouverez d’autres
habitants qui se joindront à vous !
Si ce projet vous parle, contactez-nous via notre
adresse mail : uccleentransition@proximus.be
Vous trouverez plus d’infos sur le net :
https://www.facebook.com/uccleentransition/
http://reporterre.net/A-Totnes-la-transition-se-porte
(la petite ville anglaise de Totnes est le berceau
du mouvement.)
A très bientôt !
Isabelle Dubois
Pour la douzième année consécutive « Quartiers Verts », initié par Inter-Environnement-Bruxelles et soutenu par la Ministre de l’environnement, projette de verduriser la ville au travers d’une dynamique citoyenne participative.
Via des actions simples comme la pose de balconnières, l’installation de plantes grimpantes en façades ou encore la plantation au pieds des arbres, ce projet convivial et fédérateur en appelle à la créativité collective et à l’appropriation de l’espace public.
Destinée aux comités de quartier ou à toute autre association, l’initiative se veut être le point de départ non seulement d’une conscientisation écologique mais également d’une convivialité de quartier.
Depuis 2001 Uccle n’a accueilli qu’un seul projet de ce type : Il s’agit de la dynamique lancée en 2004 par les riverains de l’avenue des Sept Bonniers. Cette action perdure encore aujourd’hui. Ce qui n’était alors qu’une large artère de transit offre de nos jours un visage plus humain et plus fleuri. Osons espérer que cette expérience réussie baptisée « Chlorophylle ta rue » suscite enfin, en cette année 2012, une émulation auprès d’autres quartiers ucclois.
Afin de mener à bien les projets sélectionnés, Inter Environnement Bruxelles les accompagnera dans la phase de concrétisation et dans les éventuelles démarches administratives qui y sont liées. Autre bonne nouvelle : la Région bruxelloise soutient financièrement chaque projet retenu à concurrence de 4.000 euros maximum.
Téléchargez ici le formulaire de candidature 2012 (doc. pdf).
Si vous avez de plus amples questions n’hésitez pas à contacter Sophie Deboucq,
Coordinatrice "Quartiers Verts", chez Inter-Environnement-Bruxelles soit par e-mail à quartiersverts@ieb.be soit par téléphone au 02/893.09.16.
Bonne chance à tous !
Pour en savoir plus sur le quartier durable OXY 15, rendez-vous ici !
En tant qu’interlocuteurs privilégiés, l’ACQU et la section locale
d’Uccle de la Ligue des Familles, faisant partie du Comité d’accompagnement
de l’Agenda 21, se réjouissent de l’approbation à
l’unanimité du plan d’actions par le Conseil communal du 22
octobre 2009. Sans le reprendre dans son intégralité (il peut être
consulté sur le site de la commune www.uccle.be ), il convient
de rappeler que le plan se compose de 103 propositions
concrètes et réalisables axées autour de 5 thèmes :
1° bonne gouvernance et démocratie participative,
2° logement durable pour tous,
3° réduction des dépenses énergétiques et de l’effet
de serre,
4° protection et amélioration du patrimoine naturel
5° coopération locale et internationale.
A ces propositions s’ajoutent 48
actions du Bilan Carbone, également
consultables sur le site précité,
qui montre la volonté de
l’administration communale de
s’engager de manière exemplaire
dans la voie du développement
durable et dans la réduction de
l’effet de serre. Une plaquette à
large diffusion poursuivra très
prochainement la sensibilisation
des citoyens ucclois à la problématique
du développement
durable.
La mise sur pied de l’Agenda 21 à
Uccle a offert à beaucoup d’entre
nous l’occasion de réfléchir et de
nous impliquer en tant qu’acteurs
du processus. Toutefois, « tout
reste à faire ». Nous ne sommes
en effet qu’au début d’une dynamique
qui s’étalera sur de nombreuses
années et qui doit se
concrétiser par des changements
fondamentalement culturels.
Mais, pour que ceux-ci soient
significatifs d’un réel changement
civilisationnel, il appartient
à tout le monde de s’impliquer
en conscience, concrètement et
activement, au processus de finalisation
du projet.
Ainsi, en matière de « Bonne
gouvernance et démocratie participative
», l’objectif de mettre
en place une transversalité
Commune / Citoyens et Commune /
Région / Pouvoir fédéral prévoit
notamment d’instaurer des
« Comités de suivi 21 »
Commune/Citoyens. Pour reprendre
un autre exemple, dans le
contexte de réduction des dépenses
énergétiques et de l’effet de
serre, diverses actions ont été
envisagées en vue d’impliquer les
citoyens dans l’accompagnement
du Plan Communal de Mobilité
(PCM) et la promotion d’une
mobilité douce.
Comme vous le constatez, les
actions citoyennes ne manquent
pas.
A chacun de nous de rechercher
et de découvrir sa contribution
personnelle au développement
durable à Uccle. La participation
citoyenne se doit d’être favorisée
par un effort de communication
de la part de l’administration
répondant à une réelle attente
des Ucclois. Insistons sur le fait
que les autorités communales et
le personnel de l’administration
doivent réaliser des efforts
visibles et cohérents. A l’heure
des défis impliquant notre survie,
nous souhaitons de la part des
responsables politiques et administratifs
un réel engagement
teinté de volontarisme et de
modestie, sans confusion du jeu
et de l’enjeu.
Un cadre existe donc, mais il ne
faut pas qu’il reste vide.
Profitons de cette opportunité
pour être proactifs en prenant
connaissance des actions prônées
par l’Agenda 21, et ensuite en les
faisant nôtres au niveau individuel
et collectif.
Notre mot d’ordre est donc vigilance,
réflexion et surtout
actions. Retroussons nos
manches !
Nous continuerons à nous informer
de l’évolution du défi dans
nos prochaines publications
(Famille Flash et Lettre aux habitants).
Chantal NOÉ (Ligue des familles) et Bernard JOURET (Acqu)