QU’EN RETENIR ?

Tout d’abord que cela a été une soirée dynamique et instructive. Les 50 personnes présentes ont pu entendre 7 exposés différents, accompagnés d’illustrations permettant de visualiser les lieux dont on parlait. Même si à 3 reprises il a été question de lotissement, les situations étaient différentes et les réactions également. Les participants ont également eu l’occasion de poser des questions.

Plusieurs points ont été relevés avec une certaine constance :

  • La plus mauvaise attitude est de considérer que comme simple habitant on est sans pouvoir et qu’on ne peut que subir ;
  • Bien plus, il ne faut pas rester dans la contestation et on gagne à se montrer créatif ;
  • A cet égard, le recours à l’interpellation citoyenne – quand la matière s’y prête – est une forme originale de se faire entendre ; l’article qui suit en donne un bon exemple ;
  • Il y a toujours un résultat même s’il n’est que rarement visible ; l’impression d’échec vient sans doute de ce qu’on met la barre très haut et de ce fait le résultat ne correspond pas aux attentes ;
  • Quelque chose qui paraissait naguère impossible à obtenir ou qui était considéré comme hors de propos entre lentement dans le champ de ce qui est normal ou acceptable ; à force de frapper plusieurs fois sur le même clou, on peut faire évoluer les mentalités ;
  • Il faut être assez disponible car l’action nécessite souvent un travail important et de longue haleine. Du coup, pour « s’accrocher » il vaut mieux s’y mettre à plusieurs ; c’est d’autant plus vrai que les bénévoles sont souvent confrontés à des institutions ou à des promoteurs qui disposent de temps et de moyens financiers ;
  • Quoiqu’il en soit, l’action en commun permet de se rencontrer entre voisins, ce qui n’est déjà pas si mal ; Et pour conclure :
  • Il est important de faire connaître son action, de savoir communiquer, et à cet égard pourquoi ne pas recourir à la Lettre aux habitants ou au site internet de l’ACQU !

D.R.

12 décembre 2017