La mobilité : Un enjeu impopulaire et un cadre de travail difficile.

Nos invités reconnaissent la difficulté à faire aboutir
certaines mesures en matière de mobilité.
Le CDH dénonce des facteurs institutionnels compliqués
ainsi qu’un écueil financier pas évident à gérer.
Malgré cela, note-t-il, un cinquième du budget régional
est pourtant englouti dans la mobilité à travers
le financement de la STIB. Du point de vue
strictement ucclois, la plupart de nos intervenants reconnaissent
une mise enoeuvre trop partielle du Plan
Communal de Mobilité Ucclois (PCMU). Le FDF se félicite
néanmoins de l’existence d’un pareil plan ;
toutes les communes bruxelloises n’en disposent pas,
remarque-t-il. L’ACQU rappelle toutefois qu’à
l’époque de son adoption, le conseil régional de la
mobilité avait jugé le PCMU en retrait par rapport
aux objectifs de la Région.

Quoi qu’il en soit, au vu du bilan très moyen des six
années écoulées, force est de constater que faire accepter
par les Ucclois les mesures et les changements
prévus par ce plan fût déjà difficile. On peut donc
conclure que c’est principalement en matière de
communication et de définition des objectifs que le
bât blesse. Il est donc urgent que la Région et la Commune
s’entendent sur les objectifs à atteindre.

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