CENTRE SPORTIF LE ROSEAU

Nous publions ci-dessous une des lettres d’opposition au projet par certains aspects nocif et démesuré de rénovation et extension de ce club. Et nous la faisons précéder d’une note liminaire expliquant l’importance du dossier. La Commission de Concertation a en effet rendu un Avis dont l’intérêt dépasse le cas spécifique du Roseau en ce qu’elle a souligné la nécessité d’avoir égard à la biodiversité, argument invoqué par les riverains.
Comme quoi, le travail des habitants peut se révéler utile et nécessaire.

Avis DEFAVORABLE unanime de la Commission de concertation du 20 avril dernier et refus du permis d’urbanisme pour la rénovation du Centre sportif Le Roseau, la construction de quatre padels couverts et l’abattage de 42 arbres, transformer et rénover le club house et le réaménagement des terrains de tennis en synthétiques, l’augmentation forte de la pollution lumineuse sur tous les terrains, la couverture fixe sur 4 terrains de tennis et l’aménagement de 4 terrains de tennis contigus à la zone de haute valeur biologique.

Cette fois les déléguées de l’Urbanisme régional et de Bruxelles Environnement ont clairement pris position contre ce projet jugé démesuré et dont toutes les incidences pour les riverains et pour la réserve naturelle du Kinsendael n’ont toujours pas été étudiées en profondeur. La demande est muette quant à de nombreux aspects pouvant entrainer des impacts sur la zone Natura 2000.

La Commission de concertation motive son refus en soulignant que ce projet est incompatible avec la protection de la biodiversité puisque le site est contigu à la réserve naturelle du Kinsendael et dénature une zone de haute valeur biologique nécessaire aux espèces protégées et, de surcroît, en zone de développement du maillage écologique.

Le projet est trop dense et dépasse les limites potentielles en superficies imperméabilisées. L’avis fait référence aussi à la déclaration de politique générale du gouvernement de 2019 qui veut orienter ses choix face aux défis du dérèglement climatique et à la perte croissante de biodiversité.

Pour rappel, un premier permis d’urbanisme avait été octroyé par la Commune pour la construction de 4 terrains de padels en 2019. Comme cette demande n’avait pas suivi les formes légales, à savoir une enquête publique et une évaluation des incidences sur Natura 2000, le comité d’habitants Kinsendael Kriekenput et l’asbl SOS Kauwberg avaient introduit un recours au Conseil d’Etat. Suite à l’arrêt de celui-ci, la Commune avait alors retiré son permis.

En 2021, une nouvelle demande était introduite, cette fois avec enquête publique mais toujours sans évaluation appropriée pour la ZSC Natura 2000. La Commission de concertation avait alors rendu un avis favorable conditionnel, soit l’obligation d’une évaluation appropriée des incidences pour Natura 2000 et l’environnement général. En 2022, une évaluation des incidences était jointe à la demande mais très incomplète ; étant donné l’ampleur du projet et l’importance des manquements, l’avis a été cette fois défavorable.

Les arguments développés par les riverains et une évolution favorable des décisions des autorités publiques en faveur de la préservation de la biodiversité et face au changement climatique expliquent cette dernière décision.

Ci-dessous la lettre de l’asbl SOS Kauwberg Uccla Natura adressée à l’Urbanisme communal.

Objet : Enquête publique. Demande de permis d’urbanisme n°16-45867-2021 : rénover le centre sportif "Le Roseau" - transformer et rénover le club house et aménager les infrastructures sportives ayant trait au tennis (4 terrains de padel dans la zone boisée - adaptation de 4 terrains de tennis adaptés pour le handisport et couverture temporaire - réaménagement de 4 courts de tennis existants), aménager une zone de permaculture, aménager 2 parkings pour 30 vélos, aménager des liaisons piétonnes et créer une nouvelle voirie interne menant à l’avenue des Griottes.

Deuxième enquête publique. Concertation 20 avril 2022.

Monsieur le bourgmestre, Mesdames et Messieurs les échevins,

Notre association, active depuis plus de 40 ans, est attentive à la protection des espaces semi-naturels et particulièrement des espaces Natura 2000 comme le Kinsendael.

Le projet présenté est contigu à la zone Natura 2000 du Kinsendael et une petite partie du terrain de la demande se trouve aussi en zone Natura 2000. C’est la raison pour laquelle il convient d’être attentif aux incidences potentielles qui pourraient affecter les habitats et la faune protégée.

Le dossier d’enquête publique n’est toujours pas complet. Dans l’annexe I, formule de demande, les superficies bâties et imperméabilisées ne tiennent compte que de l’extension du club house, les 4 terrains de padels à couverture fixe et les 4 terrains de tennis couverts par une structure fixe non amovible devraient y être inclus. Les 9 parkings extérieurs supplémentaires ne sont pas mentionnés.

I-Rapport d’incidences. Dit non nécessaire selon l’urbanisme.

L’évaluation appropriée Natura 2000, jointe au dossier, ne traite que des incidences sur Natura 2000, selon l’ordonnance Nature, mais ne traite pas les impacts sur le voisinage, la fréquentation accrue du site, la mobilité qui en découle, le bruit, les lumières et le cumul avec les nuisances déjà problématiques du Centre sportif De Ridder.

Or, dans l’annexe B point 20 du CoBat figure : Aménagement sur une propriété plantée de plus de 5000 m², dans la liste des demande de permis exigeant un rapport d’incidences.

Aucune évaluation précise de la future fréquentation des joueurs et des visiteurs n’est faite, ni de l’accroissement de la circulation, ni sur le bruit des 4 paddels ou de l’accroissement conséquent de la lumière jusqu’à 22 heures sur tout le site. La terrasse éclairée du restaurant au niveau +1 sera agrandie de 48 m² dirigée en partie du côté des habitations de la rue du Roseau. L’impact de la lumière et du bruit nocturne n’ont pas été étudiés pour la quiétude des habitants.
L’accroissement du parking de 9 places supplémentaires, dont sans doute pour PMR, non précisé dans la note, sera-t-il suffisant pour la nouvelle fréquentation du site ? Il faut remarquer que déjà aujourd’hui le parking est saturé et que beaucoup de véhicules encombrent le trottoir de la rue du Roseau, au détriment de la sécurité des piétons. Il n’est pas tenu compte de la fréquentation importante des sportifs et visiteurs des terrains de foot contigus du centre sportif Deridder, pour le projet de la sortie par la rue des Griottes. Bref la mobilité générale n’a toujours pas été appréhendée en fonction de l’accroissement des visiteurs.

Le paysage sera fortement impacté en bordure d’une zone naturelle classée et directement en face d’une zone d’habitation, par cette énorme structure bâchée de 70 m de long et d’une hauteur jusqu’à plus de 9 m au faîte, l’abatage d’une cinquantaine d’arbres sains et le remplacement par une structure fixe jusqu’à une hauteur de 12m, recouvrant 4 terrains de paddels, jeu reconnu comme bruyant, dans la zone boisée nécessaire au développement des espèces protégées.

II-Prescription 13 du PRAS et entaille significative dans la zone de développement du maillage écologique qui borde la réserve naturelle du Kinsendael et dans la zone tampon Natura 2000.

Contrairement à ce qui est affirmé dans les considérants de l’avis de la dernière Commission de concertation, d’ailleurs repris de la note du demandeur, la zone verte de sports sera profondément transformée par l’abattage d’une cinquantaine de pins sylvestre, en bonne santé dans la zone de développement du maillage écologique du PRDD, et indispensable à la faune protégée.
Il est tout à fait faux d’affirmer que le cadre de verdure prescrit par la prescription 13 ne sera pas impacté et que le projet veille à situer les nouvelles installations en dehors de la zone de protection des 60 m et loin de la limite de celle-ci.

C’est évidemment tout le contraire :
• La construction de 4 terrains de padels (47,5 X 26,5 = 1258,75 m²), à couverture fixe non amovible, d’une hauteur de 12 m, dans la zone boisée de développement du maillage et nécessaire à la faune protégée (pics).
Remarque : (Dans la demande de 2018, pour 4 padels la superficie comptait pour 1887,79 m², les terrains auraient-ils diminués ?)
• La couverture de 4 terrains de tennis est supportée par une armature fixe qui, contrairement à la bulle, restera l’été. Elle est donc non amovible, contrairement à ce qui est invoqué, sur une longueur de 70 m et une hauteur de 9 m au faîte, qui deviennent de facto, une superficie imperméable de (70 m X 36 m= 2520 m²), dans la zone tampon de 60 m et de surcroît, contre la zone Natura 2000.
• L’ajout de 4 terrains de tennis supplémentaires et non existant, comme affirmé, dans la zone tampon et contre la zsc Natura 2000 avec éclairage.
• Le remplacement de la structure de tous ces terrains de tennis sera profondément modifié par le choix d’un gazon synthétique de 17 mm, 100 %polyéthylène posé sur socle de dalle béton ou d’un tapis d’enrobé bitumeux, peu adéquat en bordure d’une zone de réserve naturelle humide.
• Toutes ces infrastructures seront éclairées, ainsi que les terrasses extérieures du restaurant et les routes d’accès générant une pollution lumineuse très dommageable pour la faune.

Rappelons que s’il s’agit d’une zone de sport, celles-ci sont néanmoins comprises dans la liste des zones vertes du PRAS, contrairement à la remarque de la CC qui affirme que ce n’est pas une zone verte.

III-Abattage de 42 arbres. Replantation. Etude phytosanitaire des arbres.

Tous les 42 arbres prévus à l’abattage sont en bonne santé et donc pas en fin de vie comme annoncé dans la demande précédente. Un arbre adulte peut capter 25 kg de co² par an. Multiplié par 42 cela fait une suppression de 1050 kg de CO² par an. Il faut au moins 20 ans pour que des jeunes arbres arrivent à capturer autant de mètres cubes de CO².

Les pins sont un habitat intéressant pour les pics présents dans la réserve et les chauves-souris. Les chenilles de papillons de nuits (sphinx et noctuelles) sont fréquentes sur les vieux pins sylvestres et sont une nourriture pour les oiseaux et aussi pour les chauves-souris. D’autres insectes gallicoles (petits papillons, petites guêpes) fréquentent très souvent les pins et y forment des galles résineuses dans lesquelles se développent les jeunes larves et le cortège de leurs prédateurs.

Ce groupe de pins est également un corridor écologique pour le déplacement des espèces.
Par conséquent, il sera dommageable pour les espèces protégées de supprimer ces arbres pour y construire les padels et la route de sortie car ils sont situés dans une zone de développement de la biodiversité prévue sur la carte du maillage écologique du PRDD et contraires aux mesures de l’objectif de gestion Natura 2000.

Mesures Natura 2000 : Pics : Objectif maintien habitat favorable pour l’alimentation (Pin) et nidification. (Pinus sylvestris) présence de vieux et hauts arbres.
Natura 2000 et du réseau écologique bruxellois ;
Présence d’arbres à cavité, de bois mort sur pied, d’arbres âgés ou dépérissant ;

L’évaluation appropriée qui a perçu la contradiction propose d’ailleurs une alternative de déplacement des 4 terrains de padels dans la partie non boisée du site à côté des tennis existants mais le demandeur préfère conserver une vue dégagée depuis les terrasses et organiser des barbecues sur la dernière pelouse. Le demandeur ne souhaite pas gâcher sa perspective par les structures fixes et préfère que ce soient les voisins et la faune qui en pâtissent.

Plan paysager et choix des espèces de plantations.
Le plan paysager est difficilement lisible en ligne car il n’y a pas de légende et l’emplacement des nouvelles plantations n’est pas déchiffrable.
La liste des sujets à replanter ne comporte que 40 arbres de haute tige, les autres sont des arbres de petit gabarit ou des arbustes. Parmi les arbres, les 23 conifères épicéas et Nordman ne sont pas un choix durable ni judicieux, car ces espèces ne supportent plus notre climat qui se modifie. Beaucoup d’épicéas et de Nordman ont dû être abattus tant en Wallonie que dans la forêt de Soignes. Il vaut mieux choisir des feuillus plus résistants même si ils perdent leurs feuilles l’hiver.

IV-Gestion des eaux de pluie. Imperméabilisation accrue. Superficie imperméabilisée.

Comme rappeler ci avant les superficies des 4 padels et des 4 tennis sous couverture non amovible sont d’office des zones imperméables.
Tous les tennis seront rénovés en synthétique Red plus « dit perméable ». Toutefois ils doivent être posés sur des dalles béton ou un tapis bitumeux poreux. Mais curieusement il sera possible de récolter l’eau de pluie de ces terrains dans des citernes, donc ils ne seront pas vraiment perméables dans ce cas. Quel serait le coefficient de perméabilité K du système Red plus ? Comment calculer les capacités des citernes et leur emplacement, quel sera le système de pompage ? La gestion des eaux de pluie est loin d’avoir été étudiée en profondeur.
Ne faut-il pas craindre une pollution des eaux d’infiltration depuis ces matières plastiques ou du tapis bitumeux ou du dispositif de trop-plein des citernes envoyé directement dans la zone protégée ?
Dans la zone boisée figure un motif en forme de nuage dont je ne suis pas arrivée à lire le texte, est –ce un dispositif d’écoulement ?

V-Evaluation appropriée Natura 2000.

L’ouverture d’un sentier « santé » dans la zone verte de haute valeur biologique ne correspond pas aux objectifs de gestion de Natura 2000. Quant à la permaculture, il est proposé des stages et activités éducatives, le nombre de visiteurs et les besoins pour cette activité ne sont pas non plus estimés. La réserve naturelle comporte déjà 5 accès et il n’est pas adéquat d’en créer un nouveau. Ceci ne correspond pas aux objectifs de limiter le piétinement du site. Il vaut mieux refermer le passage entre les deux propriétés par une clôture à large maille qui permet le passage de la petite faune.
Mesure Natura 2000 : canaliser la fréquentation récréative pour protéger les zones sensibles.

Dolomie

Le choix de la dolomie pour le parking et la voirie d’accès est inapproprié, ce matériau calcaire peut changer la nature du sol acide de la réserve. Par ailleurs, il n’est pas très perméable et provoque des écoulements et des obstructions des égouts.

P 28 et 30 les cartes de la ZSC II ne sont pas à jour, il manque le récent ajout des prairies de Pasteur sur le plateau Engeland et une espèce de chauve-souris communautaire le vespertilion à oreilles échancrées.

Objectifs de conservation Natura 2000

Chauves-souris : Au minimum maintien des populations actuelles. Connectivité corridors de vol sombre entre les stations.
Maintien ou réduction du niveau lumineux existant. Pas augmentation donc ;
Mesures : Présence de biotopes urbains et éléments du paysage permettant d’améliorer la cohérence écologique du réseau Natura 2000 et du réseau écologique bruxellois ;
Présence d’arbres à cavité, de bois mort sur pied, d’arbres âgés ou dépérissant ;
Présence d’un habitat forestier à structure horizontale et verticale diversifiée ;
Pollution lumineuse limitée ;
Limitation des sources lumineuses dans les zones de gagnage et le long des routes de vol ;

Abatage des arbres et construction dans la pinède.

La lecture des objectifs de conservation permet de dire que la suppression d’une partie de la pinède pour y construire les paddels est en contradiction avec le maintien de la faune protégée.

L’alternative de déplacement des paddels en dehors du bois, proposée par le chargé d’étude n’est pas acceptée par le demandeur et cette alternative ne résout pas le problème de la lumière et du bruit généré par ce sport sur 4 terrains.

L’atténuation n°8 de limiter l’abattage au minimum est en contradiction avec la construction fixe qui nécessite déblai et remblai, et endommage les systèmes racinaires et fragilise les houppiers qui supporteront plus de prise au vent. De plus, cette atténuation est en contradiction avec l’atténuation 13 de prévoir de l’espace pour la construction de murs anti-bruit. Selon les études faites ces murs doivent être de véritables constructions sur une hauteur de 4 m au moins et une épaisseur suffisante pour incorporer de l’isolant acoustique pour être quelque peu efficace. Il faudra donc encore plus abattre des arbres et enlaidir le paysage. Cette construction des paddels dans la pinède est nocive au maintien de la faune protégée.

Pollution lumineuse.

L’éclairage du site est tout à fait excessif et en contradiction avec les objectifs de gestion Natura 2000. L’éclairage est prévu sur tous les terrains sportifs couverts ou pas. S’il va de soi que les éclairages doivent être dirigés vers le bas et n’éclairer que le strict nécessaire, ce n’est pas le cas dans ce projet.

Nous réclamons une étude globale et la mesure en lumen de la quantité totale de lumière qui sera diffusée dans le site et son impact sur le voisinage et la faune protégée, dans la zone tampon des 60 m et sur l’ensemble du site. Envisager un éclairage plus doux de couleur ambre est nettement moins nocif pour la faune protégée. Tous les terrains surtout à l’air libre, ne doivent pas être éclairés. Le tennis est un sport de plein air avant tout et l’été les soirées sont longues. Il faut d’ailleurs ajouter l’éclairage trop intense et trop haut des terrains de foot du Centre De Ridder voisin qui impacte déjà fortement le voisinage et la faune et qui devrait être réduit et réorienté.

Même la nouvelle route de sortie sera éclairée alors que les véhicules sont munis de phares.
Pour le moment la grande bulle blanche qui recouvre les 4 tennis en hiver forme un halo lumineux important depuis le matin jusqu’à 23 heures. On peut voir que sur la photo reprise dans l’évaluation, les lampes sont dirigées vers le ciel et non vers le sol. De plus la toile blanche rejette la lumière. Cet éclairage devrait être revu et dirigé vers les joueurs. Une bâche de couleur sombre permettrait de réduire l’impact. Il n’y a pas de mesures d’atténuation de proposée et c’est regrettable.

Les dernières études prouvent que la pollution lumineuse provoque une hécatombe des insectes et nuit gravement à la faune, notamment les chauves-souris lucifuges qui fréquentent la ZSC Natura 2000. Une attention toute particulière doit être apportée en ce sens.

Impact du bruit

Le paddel est un sport nettement plus bruyant que le tennis, c’est indéniable et tous les recours qui se multiplient contre ce problème sont là pour l’affirmer. Mais l’évaluation n’étudie pas le bruit potentiel qui serait généré, pourtant une mesure sur d’autres paddels pourrait se faire. Attendre qu’ils soient construits pour pouvoir en évaluer l’impact est tout à fait absurde.

La mesure d’atténuation n°13 recommande de prévoir l’espace suffisant pour implanter au besoin des écrans acoustiques en bordures des nouvelles installations et d’effectuer des mesures de bruit afin de déterminer l’impact des padels APRES leur construction. Ceci n’a aucun sens et est contraire à la directive européenne qui recommande d’étudier les impacts d’un projet en amont pour éviter les incidences négatives sur l’environnement.

Effet barrière

Les structures non amovibles des paddels (12 m au faîte) et de la couverture des 4 tennis ( 70 m de long sur 36 m de large et une hauteur au faîte de 9 m) ne peuvent que créer des obstacle, d’ailleurs éclairés et bruyants. L’impact de la pollution lumineuse est bien présent surtout pour les espèces lucifuges et fera un effet barrière au déplacement contraire aux objectifs de gestion.

Nous demandons qu’un membre de notre association soit présent à la commission de concertation du 20 avril 2022.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Bourgmestre, Mesdames et Messieurs, l’assurance de notre parfaite considération.

Pour l’asbl SOS Kauwberg.
Thérèse Verteneuil Baekelmans

22 mars 2024